Sinji RP : Histoire de l'Act I.

La veille de sa rentrée il prépara soigneusement toutes ses affaires. Tout à coup quelqu'un frappa à la porte. C'était le directeur accompagné d'une jeune personne inconnue. Son haut de T-shirt était bleu, son bas était blanc, il avait un peu près ma taille : sans doute mesurait-il un centimètre de moins. Il était roux, il n'était pas très gros, et portait des chaussures de marque.
Le directeur le présenta en tant que son colocataire de chambre : Kamo Habasira.

- Voilà, j'espère que vous allez bien vous entendre ! Dit le directeur.
Son nouveau colocataire dit : - Bonjour, je suppose que tu es Sinji ?
- Oui c'est bien moi, tu peux prendre le lit qui est à ma droite.
- D'accord, alors tu rentreras au collège demain, qu'en penses-tu ?
- J'en pense qu'il est trop tôt pour en parler, et toi étais-tu venu à l'école d'ici ?
- Oui, et tu vas sans doute te demander pourquoi tu ne m'as pas vu ? En fait, je suis très discret et je n'ai eu aucun ami, jusqu'à présent. Est-ce que tu voudrais bien être mon ami ?
- Hum, réfléchissons... Non je blaguais, bien sûr, t'es dans ma chambre. Dit-il en souriant.

Après cette petite discussion, nos deux compères allèrent au réfectoire, prendre leur dîner. Les deux s'assirent ensemble pour continuer de bavarder. Et ils allèrent enfin se coucher pour ne pas rater la rentrée de demain, à 9 heures pile.

Sa première rentrée au collège, il y retrouva tous ces anciens camarades. Kamo son colocataire de chambre sourit, quand ils virent sur le panneau placé à l'extérieur qu’ils étaient dans la même classe. Après la discussion d'hier soir, ils étaient devenus ami. Il avancèrent ensemble dans le couloir, ils s'arrêtèrent quand ils virent leur salle de classe : salle 109 classe 1-B. La première fois qu'il aperçurent la salle de classe, elle leur paraissait plutôt grande. La classe était imprégnée d'une odeur de jasmin sûrement à cause du jardin qui se situait à côté. Les élèves s'assirent alors sur leur chaise, derrière leur table en inox. Sur ce coup les deux colocataires s'assirent côte à côte, attendant l'arrivée du professeur principal.

Quelques dizaines de minutes s'étaient écoulées, les élèves de la classe discutaient entre eux. C'est alors que surgit notre professeur : c’était une femme, possédant de long cheveux châtains très lisses et des yeux vert émeraude. Elle portait des lunettes et était vêtue de noir et de blanc. Elle devait au moins avoir la trentaine. Elle alla au tableau et se présenta, la classe maintenant plongée dans le silence.

- Bien, je suis votre professeur principal aussi votre professeur d'anglais, madame Kasuyu mais vous pouvez toutefois m'appeler Delphine. Ajouta-t-elle avec un léger accent anglais.

Elle écrivit son nom et son prénom sur le tableau noir, et elle nous demanda d'écrire nos noms, prénoms, notre âge et le métier qu'exerçaient nos parents sur une feuille qui allait nous s'être distribuer. La mère de Sinji travaille dans la haute couture et son père travaille dans la politique. Elle récupéra les feuilles et les regarda, les élèves discutaient pendant ce temps, d'autres dormaient, d’autres encore étaient perdus dans leurs pensées. Comme une classe normale. Madame Kasuyu déclara qu'elle lirait les feuilles plus tard. L'heure de la pause arriva. Tout le monde partit sauf Sinji. Et quand il vit Madame Kasuyu lire sa feuille, il l’interpella.
- Madame Kasuyu !
- Oui ! Je t'ai déjà dit que tu pouvais m'appeler Delphine. S'exclama alors le professeur.
- Delphine, mes vrais parents ce ne sont pas eux. Mes parents sont en réalité morts, ça m'attriste de vous le dire, mais ils sont morts dans un tremblement de terre. Dit-il en pleurant. (Il ressent cette pulsion négative, dû à son lavage de cerveau mal fait).
- Tu sais ce n'était pas la peine de me le dire, je ne demandais que le métier de tes parents.
Je vois que cela t’a beaucoup touché de me le dire, viens. Tiens voilà une sucette, je sais que cela ne pourra pas faire revenir tes parents. Je comprend ta peine, étant petite j'ai aussi perdu mes parents c'était dur. Mais crois-en mon expérience : rien ne sert de pleurer. Allez sèche donc ces larmes et va rejoindre tes amis !
Sinji s'essuyant ses larmes et déclara :
- Oui, madame !

Après la pause, les cours reprirent. Cette fois-ci c'était un cours de français suivi d'un cours de mathématique, puis d'un cours de Science et vie de la terre. Et les deux garçons, repartirent avec plein de devoirs, mais il furent vite terminés. Sinji une fois les devoirs finis, décida d’aller s'amuser seul au parc d'attractions. Son ami était rester dans la chambre pour parfaire sa dissertation. Mais comme il ne connaissait pas très bien les lieux, il se perdit.

Chapitre III : Découverte d'un passage.

Sinji, perdu, chercha alors à revenir en arrière, mais il n'avait pas fait attention par où il était passé. Il avait quand même son portable sur lui. Il essaya d’appeler son ami, sans réponse. Il ne répondit pas. Quand enfin la nuit tomba, il commença a s'inquiéter, et essaya d'appeler des personnes à côté qui auraient pu indiquer la route, mais c'était sans espoir : il n'y avait personne.

Tout à coup, il commença a pleuvoir. D'abord deux gouttes, puis quatre, et ce fut une vraie pluie hivernale. Sinji chercha donc un lieu couvert pour ne pas être mouillé. En courant, il aperçut l'arbre monde : cet immense arbre qui dominait tous les environs de Mahora. Il alla s'y abriter quand soudain il vit une personne avec une cape noire pénétrer dans l'arbre.
- Mais, comment a t-il fait ça ? Hum... je ferais mieux d'aller voir. Se dit Sinji, surprit.
Puis, l'instant d'après, il vit de violents orages dans le ciel, et il repensa à l'émission de l'autre jour, où les arbres les plus grands attiraient la foudre qui les fendait en deux. Sinji, prit de peur, courut dans tous les sens, lorsqu’il entendit un déclic, puis il bascula dans une trappe, qui se referma derrière lui. Il tomba sur la tête, le laissant inconscient pendant un certain temps.

A son réveil, une demi-heure plus tard. Il se massa la tête à cause de la douleur. Il se rappela ce qu’il venait de se passer, et se souvint qu’il ne savait pas où il était. Pendant sa chute, son portable avait subi quelques dommages, mais rien de bien grave. C'est alors que son ventre se mit à gargouiller. Et oui, Sinji avait faim, et il se demandait s'il pouvait appeler : il composa le numéro de son ami, mais sa présence sous terre le coupait de tout réseau. Ainsi, il se mit à marcher afin de chercher une sortie, mais c'était impossible de trouver vu qu'il faisait noir. Tout à coup, il eut une idée : son portable pouvait encore produire de la lumière. Il le prit et l'alluma, éclairant l’endroit.

Ce lieu n’était en réalité pas une pièce, mais un couloir dont on ne voyait pas la fin avec des colonnes de pierre sur les côtés. Des cailloux, des racines, de la terre et des petits insectes jonchaient le sol. Il tenta de crier, si par pur hasard quelqu'un l'entendait, mais personne ne répondit.

Marchant dans le couloir sans fin, son portable s'éteignit peu à peu, la batterie s’épuisant. C'est alors qu'il entendit un bruit curieux, comme si un rocher dévalait une pente. Le bruit se rapprocha, et l’instant avant que son portable s’éteigne, Sinji eut le temps d'entre-apercevoir un rocher qui roulait vers lui à toute vitesse. Pris de panique, il commença à courir, puis il commença à voir plus nettement le couloir, comme s’ils étaient éclairés par des lampes, lorsqu'il vit un escalier montant peut être vers la sortie. Il prit ce couloir en étant toujours poursuivi par ce rocher qui se rapprochait de plus en plus. Dans les derniers mètres, il crut que c'était la fin pour lui. Mais il arriva aux escaliers et ne se sentit plus menacé par le rocher, qui ne pouvait gravir la pente. Soudain il vit une flèche, sortie d'on ne sait où filer droit sur lui. Il parvint quand même à l'éviter, en bougeant très rapidement.

Il arriva alors en haut de l'escalier, mais il ressentit une sensation bizarre, une sorte d'aura. Il vit alors de nouveau cet homme, son visage était ombragé par sa cape.
- Mais qui pouvait bien être l'homme sous cette cape ? Pensa tout fort Sinji.
L'homme en question ce retourna et vit Sinji.
Et il dit : - Non, Sinji ton moment n'est pas venu.
Sinji était intrigué par cette homme, il ne vit même pas son visage. Il prononça des mots en latin. Après ceci l'homme sous la cape noire lança un sort d'oubli puis l'homme disparut. Quand Sinji reprit conscience, il avait oublié cette scène avec l'homme en cape noire.

Tout était de nouveau noir. Lorsqu'il reprit sa marche, sans faire attention, il marcha sur une autre dalle et s’attendit un instant à l'arrivée d'un autre rocher immense. Mais rien ne se passa, il vit une petite sortie qui menait directement à la bibliothèque de Mahora. Il prit ce chemin et aussitôt sorti, la porte d'accès se referma. Que c'était-il passé ? En un court instant il crut qu’il s’agissait de magie, mais il pensa après qu’il pouvait s’agir d’un passage emprunté lors de la construction de l'école, pour planter les premières graines de l'arbre monde, au vu son ancienneté. Il était déjà tard. Il essaya de gagner sa chambre sans faire de bruit. Il prit une pause tout épuisé de la course qu'il avait subit à cause de ce rocher géant qui avait déboulé sur lui. Quand il rentra dans sa chambre, il vit un plateau posé devant son lit. C'était sûrement son ami Kamo qui l'avait posé là : il devait s'inquiéter de ne pas voir son ami rentrer. Il mangea, déposa son plateau dans l’évier et revint se coucher dans le confort de son lit.

Chapitre IV : Rencontre avec une jeune fille.

Sinji ayant l'humeur de se réveiller tôt un dimanche matin, se leva tout en faisant attention de ne pas réveiller son colocataire et descendit encore en pyjama. La journée venait juste de commencer et le soleil se levait à peine, que le réfectoire fut déjà ouvert. Sinji savait que le petit déjeuner était le repas plus important de la journée, puis d'un pas décidé il alla se prendre un petit bol avec du lait, et des tartines de confiture.

Il n'y avait personne au réfectoire, sauf les personnes qui y travaillaient bien sûr. Il s'assit à une table, pris son petit déjeuner, s'essuya la bouche, reposa le plateau dans l’évier et partit faire un tour. Ayant retenu la leçon, il essaya cette fois-ci de ne pas se perdre en prenant pour point de repère l'arbre monde qui était au milieu du campus, et ainsi retrouver toujours son chemin. Il passa près de la fête foraine, où il était censé se rendre avant, alors il préféra s'y rendre maintenant mais il avait oublié qu'elle était fermée aujourd'hui. Sûrement parce qu'il réfléchissait à l'autre soir. Il pensait à cet homme sous la cape noire, mais il ne put se souvenir concrètement de lui. Sa mémoire lui rappelait que l’homme avait emprunté un passage sous l’arbre monde, mais un trou de mémoire l’empêchait de se souvenir du reste. Il était pourtant en pleine forme. Le soleil se levait haut dans le ciel, il passa près du portail pour aller dans sa chambre et rejoindre son ami. Lorsque soudainement une jeune fille l'interpella.

C'était une nouvelle arrivante qui était plutôt de son goût, elle avait de longs cheveux noirs descendant jusqu'à la poitrine. La première impression de Sinji était qu'elle ne devait pas avoir plus de son âge car elle était petite par la taille et avait aussi une fine poitrine. Elle lui demanda comment s'intégrer dans ce campus. Sinji lui répondit gentiment que n'importe qui pouvait faire partie de l'académie, mais que le campus était loin d’être tranquille comme elle semblait le penser. C'est alors qu'elle lui proposa de faire un combat pour lui montrer les arts martiaux. Sinji accepta son combat poliment car elle était une fille et que c'était une nouvelle. Il lui déclara qu'elle pouvait commencer quand elle le souhaitait.

Prenant l'initiative que lui avait donné Sinji, Stena fonça sur lui, le poing levé, visant directement son visage à découvert. Sinji réussi tant bien que mal à se protéger de son coup fatal qui lui était porté au visage. Puis il prit le poing gauche de son adversaire avec sa main droite, et il lui fit un tacle très prometteur.

Ce tacle réussit à la toucher et elle tomba lourdement sur le sol fait de marbre. Stena étant par terre, Sinji profita de la situation. Levant le poing gauche, il donna un puissant coup de poing, étant esquivé par Stena. Car en reprenant conscience aussi vite elle le surpris et elle leva son poing au visage de Sinji.

Stena balança son poing au visage de Sinji. Mais son dos lui faisait une grosse douleur, l'empêchant de conclure son mouvement. Sinji en fureur lança son poing droit sur Stena qui se tenait le dos à cause de cet douleur insupportable. Son poing heurta violemment la tête de Stena et lui fit un joli œil au beurre noir. Ensuite Stena répliqua vaillamment voulant à tout prix gagner, lui donna un coup de pied dans le ventre.

Le coup de pied manqua son coup, car elle était toute retournée par le choc. Sinji de fureur l'attrapa par le col pour la faire tomber violemment, en faisant croire qu'il va donner un coup de poing, c'est alors qu'il donna un coup de pied dans le ventre de Stena. Mais rata sa cible, Stena sûre d'elle à présent frappa l'épaule droite de Sinji.

Sinji réussit a esquivé le coup de pied de Stena, qui profitant de l'ouverture proposé tenta un coup de poing. Il toucha de plein ventre Stena qui eut un léger coup de vertige et s'effondra peu a peu. Elle déclara que le combat n'était pas fini, elle se remit sur pied et frappa à l'aide de son pied le ventre de Sinji.

C'est alors qu'elle lui mit deux coups dans le ventre, d'une extrême fluidité. Finalement Stena un peu K.O. par tout les coups que lui a mis Sinji, eu un bref moment de souffrance. Stena s'effondra par terre. Sinji lui tendis la main, elle l'attrapa et se releva.
Sinji déclara : "Tu as bien combattu Stena, je t'en félicite."
Stena très fatiguée et ressentant même de très légères douleurs se sentit soulagée par ces remerciements. Elle lui indiqua son numéro de téléphone portable, le salua et partit.

Sinji reprit alors sa route et partit se reposer dans sa chambre. Son colocataire n'était pas là, donc il l'avertit avec son nouveau téléphone portable qu'il était dans la chambre en train de se reposer.

À son réveil, il était déjà 10 heures. Sinji avait raté sa journée de classe et le plus surprenant c'est que son colocataire ne l'avait pas réveillé. Tout retourné par la situation il s'habilla, ne prenant même pas le temps de se brosser les dents. Une fois arrivé au collège, il alla voir l'assistante du directeur pour lui permettre de rentrer en classe. Le jeune homme lui expliqua ce qu'il s'était passé, mais l'assistante étant d'humeur sévère, elle lui donna 3 heures de colle, pour avoir manqué les cours. Et elle déclara que s'il manquait encore une journée de cours, il serait viré du campus. Déjà que les cours commençaient à 9 heures pour se terminer à 17 heures, il allait devoir faire 3 heures de colle en plus.

Sinji arrêta de cogiter, et partit rejoindre sa classe. Mais à sa plus grande surprise, il ne vit pas son compagnon de chambre. Pendant le cours d'anglais, Madame Kasuyu demanda à Sinji ou était passé son compagnon de chambre, car il devait lui rendre sa fiche. Sinji répondit qu'il ne savait pas. La cloche sonna, il était l'heure de rentrer pour tous les autres, mais lui, il devait encore effectuer trois heures de colle. Pendant ses heures de colle, il y avait un surveillant et plusieurs autres élèves, quand enfin il aperçut son ami. Il partit le rejoindre discrètement, pendant que le surveillant était retourné.

- Où est-ce que t'étais parti ? murmura Sinji.
- J'étais occupé à m'entrainer aux arts martiaux, sauf que je n'ai pas vu l'heure.
- Aux arts martiaux dis-tu ? Justement, est-ce que tu pourrais m'entraîner, car en me battant contre une fille, j'ai appris que je dois être plus fort, et l'art martial pourrait bien me servir.
- Tu veux que je t'entraine hein ? Hum... Ok, ça serait un plaisir, mais sache que je ne connais qu'une technique. Et je me suis toujours entrainé seul : je n'ai jamais eu de maître. Mais comme tu voudras. A partir de maintenant tu seras mon compagnon d'entraînement, et un semi-disciple.
- Oui, on commence quand ?
- Je te montrerais, dès ce soir, quand on aura bouclé ces fichues heures de colle.

Quand ils finirent leurs heures de retenu. Ils allèrent dans un jardin du campus. C'était un jardin avec de longues herbes et des arbres un peu partout. C'était un endroit idéal pour l'entraînement. Il était déjà tard : le soleil commençait à se coucher, des sauterelles stridulaient, il devait être vers 9 heures du soir. Le ventre de Sinji criait famine, et après une longue réflexion, Kamo déclara qu'il mangera après l'entrainement. Aussitôt eût-il fini de parler qu'il commença à faire des mouvements étranges. Ces mouvements paraissaient de moins en moins étranges lorsque Sinji comprit qu'il faisait des mouvements de combat. D'un coup de pied, il feint en deux un arbre au tronc peu épais. Sinji, ébahi, lui déclara :

- Et moi alors, je croyais que je devais m'entraîner ?
- Huhu, si tu veux tu peux commencer, mais d'abord essaye de fendre ce bout de bois.

Sinji pris le morceau de bois que lui avait tendu son semi-maître. Après il essaya de le fendre comme son maître le lui avait montré. D'abord il le prit, puis le posa entre deux bouts de rocher. Et il frappa tellement fort qu'il se blessa, et devint rouge de colère. Sinji prit le bout de bois maintenant furibond, et essaya de le tordre. Mais il n’y parvint pas, et il tomba raide de fatigue.

- Kamo, j'y arrive pas, en plus sa me fait mal à la main, déclara Sinji en détresse.
- C'est normal que tu n'y arrives pas, ces arbres que tu vois sont magiques. Enfin c'est ce que je pense, après à toi de voir.
- Magique, dis-tu ? Moi je n'y crois pas une seconde. Ahah !
- Bref, s'en est fini pour aujourd'hui : on continuera ça demain.

D'un pas monotone, ils allèrent prendre leur repas au réfectoire de la chambre.
Et ils allèrent se coucher : demain commençaient les vacances.

Chapitre VI : Vacances scolaires riment avec entrainement ?!

Les cauchemars de Sinji devenaient de plus en plus fréquents chaque nuit. Justement cette nuit là, le cauchemar revint. Il rêvait d’un homme, il ne savait pas qui ça pouvait bien être. Mais cet homme était déjà mort, le sang qui coulait le terrifiait. Le reste lui était vague. Lorsque qu'il se réveilla précipitamment avec le cœur qui battait à cent à l'heure, il était déjà midi et demi. Son ami était déjà parti s'entraîner. Le jeune garçon s'habilla, prit son jean et descendit au réfectoire prendre à manger. Il n'y avait pas grand monde, aussi se restaura-t-il dans le calme. Son déjeuner était composé de sushis aux concombres en entrée, puis du riz en plat de résistance. Après il remonta pour faire rapidement une partie de ses devoirs de vacances et pour se brosser les dents. Et enfin il alla retrouver son ami. Malgré tout il le trouva à son plus grand mécontentement en train de réviser.

- Alors Sinji ça roule ? déclara son ami avec un brin d'herbe entre les lèvres.
- Oui, mais je te dérange peut-être. T'es en train de réviser ?
- Non, justement je ne vais pas m'entrainer pour que tu puisses me rattraper. Mais méfie toi, je fais seulement ça pour augmenter un peu mes notes et pour mon futur entraînement.
- Ton futur entraînement ? releva Sinji.
- Je t'en parlerais plus tard. Pour le moment prends cette planche de bois, et fends la en deux.

Sur ces paroles Sinji s’exécuta. Il plaça la planche de bois sur les rochers, leva haut sa main tendue et frappa. Aïe ! dit Sinji. Kamo lui dit de réessayer en se concentrant sur ses muscles. Comme s'il pouvait les stimuler. À tout hasard, il essaya mais ceci ne marcha pas, donc il s'était mis à méditer. Sinji resta assis, calme, le jeune garçon se concentrait sans le savoir. À la sortie de sa méditation, 15 minutes plus tard, il ne tarda pas à voir qu'il était plus précis. Aussi ce jeune disciple réessaya de casser la planche en bois, sachant qu'il était mieux préparé à la douleur. Kamo lui dit quelques mots interrompant son geste :
- Certes tu ressentiras moins de douleur, mais ceci n'est que la moitié. Cela ne t'as servi qu'a augmenter ta dextérité pour une courte période. Mais il te manque la force pour mieux frapper. Et en sortir le plus de dégâts. Bon vas-y tu peux frapper !

A nouveau il réessaya, mais son maître avait raison : il ne put casser la planche. Il n'abandonna pas pour autant aussi vite, et prit des gants. Il les enfila, puis il recommença son coup. Cette fois-ci la planche commençait à craquer. Enfin ! Dit Sinji. Il retira ses gants, et redonna un coup à sa planche. Cette fois-ci la planche céda.

- Félicitations Sinji ! Mais bien sûr tu auras un autre entraînement. Entraîne toi à la précision de tes coups. Mais j'aurais une petite question, où as-tu appris à méditer ?
- Je sais pas, ça s'est fait tout seul. Bref... On peut commencer l'entraînement ?
- Ok, je veux que tu me coupes toutes les mauvaises herbes du coin. Allez !
- Attends, expliques-moi comment je coupe des mauvaises herbes ?
- Un maître ne dit jamais ses secrets.
- Tu parles. Tu ne connais qu'une seule technique, et tu n’es même pas un vrai maître, rétorqua Sinji en riant.
- Huh, et alors ? Bon je vais quand même te révéler comment on coupe des mauvaises herbe avec les mains nues. D'abord, tu augmentes ta dextérité en méditant. Puis tu frappes.
- Ok, mon ami.
- Non, si tu veux vraiment progresser avec moi, tu dois m'appeler maître. Je te rappelle que tu es mon disciple jusqu'à que tu atteignes mon niveau aux arts martiaux.
- Hum... Très bien maître !

Sur ces nouvelles paroles Sinji médita un moment. Quand il en sortit, il était très calme. Comme s'il venait juste de se réveiller. Le jeune homme savait que ce calme ne durerait pas éternellement. Il vit des mauvaises herbes et commença à frapper. Mais aucune des mauvaises herbes ne voulait partir. Son maître le regardait en rigolant à chaque coup qu'il donnait.

- Maître, pourquoi rigoles-tu ? Est-ce parce que je loupe tout ?
- Oui, mais pas seulement. En fait, vois-tu, ces plantes ne peuvent pas être coupées. Enfin pas à mains nues.
- Alors pourquoi tu m'as dit que c'était une technique ? répondit Sinji en rogne.
- Allons du calme, il te faut juste une arme ou de la force : pour faire plus de dégâts.
Un long silence se fit entendre.
- C'est ça que tu voulais me faire comprendre ?
- Oui, exactement, et si tu le veux bien je vais faire un petit combat contre toi pour te montrer ma force, et ma dextérité. Ce n'est pas vraiment un duel, c'est pour que tu progresses aussi en endurance. Tu es trop faible dans ce domaine.
- Quoi ! Moi, trop faible dans ce domaine ?
- Absolument, je t'ai vu te battre contre un type mesurant environ 1 mètre 65. Je ne me vante pas mais il était très faible. Je le connais et il a une très mauvaise réputation.
- Bah alors tu veux me prouver que ce que tu dis est vrai. Je t'attend maître.

Sur ces propos Kamo ferma son livre, il se mit debout, tourna autour de Sinji sur l'herbe. Il lui déclara que comme Sinji était son disciple, c'était à lui de lancer le premier coup.

Chapitre VII : La nouvelle technique : le quick move.

Pendant qu'il parlait, Sinji s'empressa de porter un coup de pied sur son ventre, mais Kamo étant rapide, il bloqua le coup de pied avec son bras. Il fit un pas rapide, prit le bras de Sinji en le mettant derrière son dos, le tout en à peine 1 seconde. Puis il tira en arrière, ce qui le fit s'écrouler.
- Argh... C'était quoi ce coup ? Ce pas super rapide ? Je n'ai pas pu sentir que t'avais bougé, déclara Sinji exténué.
- Cette attaque... enfin le pas super rapide comme tu dis, s'appelle le quick move. Cette technique, je ne la maitrise pas parfaitement encore, c'est une technique fréquemment utilisée dans les arts martiaux. Et pour conclure, tu as remarqué que j'étais sûrement plus fort que toi ? Par conséquent cela confirme bien ce que je te disais. Et je pense que je devrais m'entrainer avec toi, en te lançant des coups de poing, de pied, des pierre, des bouts de bois etc. Tu es prêt ? On commence tout de suite, c'est mieux.
- Ok, alors démarrons !

Sinji fit alors un demi tour rapide pour essayer d'esquiver tous les coups qu'allait lui envoyer son maître. Mais ceci était perdu d'avance. À peine avait-il bougé qu'un morceau de bois l'avait touché, puis ce fut un véritable coup de poing l'envoyant virevolter 5 mètres plus loin sous un arbre.

Ce n’était pas fini pour autant. Sinji se releva quand même, malgré la douleur, et dit à Kamo de continuer et de ne pas avoir peur de lui faire mal. Sur ces phrases, son ami lui jeta des pierres. Une nuée de pierres. Sinji esquiva tout jusqu'à la dernière, qui elle était un peu trop rapide. Le caillou le percuta de plein fouet, sur le nez pour être plus précis. Malgré le sang qui commençait à couler de son nez, il ne renonça pas.

Sinji s'essuya le nez du revers de sa main. Son maître n'ayant aucune pitié poursuivit ses gestes lançant cette fois-ci des morceaux de bois. Une nouvelle fois il évita tout à part le dernier qui était le plus rapide. L’énorme branche toucha le front du pauvre disciple. Cette fois-ci il tomba dans les pommes durant au moins quelques secondes.

Lorsqu’il reprit conscience, il vit que le maître allait donner un coup de poing pour le réveiller, mais Sinji vit sa main en haut, prête à frapper son ventre. Il parvint à l'échapper belle, ce qui ne fut pas le cas pour la main de son maître. Ayant frappé trop fort, il planta sa main 50 centimètres plus bas. Mais il extirpa son bras sans aucune peine. Lionel se retourna en donnant un coup de poing verticalement à Sinji, ce le projeta en arrière et le mit par la même occasion hors d’état de nuire.

Kamo prit la main droite de Sinji, et l'aida à se relever.
- Sinji, tu vas bien ? On peut arrêter là pour aujourd'hui si tu veux ? déclara son maître.
- Argh, non ! Si tu dis que je suis trop faible, je continue. répondit Sinji un peu exténuer.
- Si tu veux, mais aller ainsi contre ta propre résistance, tu vas vers de plus graves blessures. Après tout, c'est toi que je protège, et puis, tu me seras utile pour mon entraînement futur.
- Tu as raison, mais je continue quand même alors vas-y.
- Ok, si je continue on s'arrêtera ce soir.
- Oui bah, à ce train là, si tu veux qu'on s'entraîne à se combattre tous les deux avant la fin des vacances. Bah... Il faut continuer.
- Bon si tu insistes tant, je vais te le faire, ton entrainement. Mets-toi en garde, je vais te lancer des pluies de pierres.

Sinji se mit en position de défense, et fit un pas en arrière. Puis Lionel lança une véritable pluie de pierres. Les projectiles jaillissaient de partout mais le jeune disciple effectua un quick move ! Pas encore parfait, cela dit, mais un quick move quand même. Son maître Kamo l'applaudit.

- Tu es de plus en plus fort, Sinji ! Malgré que tu n'as pas parfaitement effectué le quick move, je te félicite quand même ! Hum... Sinji ça va ? Pourquoi tu ne réponds pas ? dit son maître, inquiet de l'état pour Sinji.

Kamo vit que Sinji s'effondra, inconscient. Son ami, prit de panique, le prit sur ses épaules et l'emmena à l'infirmerie du dortoir pour garçons. Il expliqua à l'infirmière tout ce que Sinji avait subi.

- Infirmière, va t-il s'en sortir ? demanda en détresse son ami.
- Oui, et ne t'inquiète pas. Attends le jusqu'à son réveil. Il sera en pleine forme et pourra continuer comme d’habitude.

Sur les pronostiques de l'infirmière, Kamo attendit patiemment que son ami se réveille.

Lorsque Sinji reprit conscience il était dans un lit d'hôpital, où il y avait plusieurs autres lits avec des malades ou des blessés. Son ami était à côté de lui en train de faire ses devoirs. Quand il vit que Sinji avait ouvert les yeux il dit : « Alors, Sinji tu as voulu en faire trop et voilà le résultat. La prochaine fois tu sauras te limiter. »
Le jeune garçon n'ayant pas trop la force de parler répliqua avec un hochement de tête.

- Bon je peux partir ? L'infirmière veille sur toi et je n'ai pas mangé. Dit Kamo entendant gargouiller son estomac.
Sinji répondit une nouvelle fois d'un hochement de la tête.
Sur ce geste, Kamo remballa ses devoirs de vacances, et il partit manger un bol de nouilles.

Pendant ce-temps Sinji ne put s'empêcher de penser qu'il était faible en endurance des coups et donc de se ménager la tête. « Pourquoi je n'ai pas plus d'endurance ? Il me faut être plus fort... Mon semi-maître me l'a dit. » réfléchissait Sinji. Il se reposa un moment dans son lit, et pensant qu'il s'était assez reposé, appela l'infirmière.

- Infirmière, je peux partir ? Je me suis assez reposé, vous savez, et j'ai récupéré toutes mes forces. Dit Sinji plus déterminé que jamais a parfaire son entraînement.
- Sinji... Attend je te pose une série de tests et tu pourras partir, je m'appelle Leslie. Tout mes patients m'appelle comme ça.
- Euh... Comment ça, des tests ? Pardonnez moi ma négligence.
- Ce n'est pas très grave, on va voir si tu es capable ou non de suivre l'entraînement que Lionel te fait subir.
- Quel genre de tests ? répondit-il de stupeur.
- Des capteurs, n'ait pas peur.
- Ok !

Sur ces confirmations Leslie s'exécuta, et mit des capteurs partout autour de Sinji. Ces capteurs, Sinji se demandait qu'est ce qu'ils mesuraient, alors il demanda à Leslie l'infirmière de l'établissement. Mais elle ne répondit pas. Après que ce test fut fini, elle lui demanda d'aller sur un tapis de sport, il était aussi muni de capteurs. Elle alla alors dans une salle de sport avec le jeune garçon. Ce dernier devait courir la distance de 15 kilomètres sans s'arrêter. Elle avait tout prévu : de l'eau pour que je puisse tenir (en plus c'était ma marque d'eau favorite) et une serviette pour m'essuyer, car les capteurs étaient très sensibles à l'humidité.

Le jeune garçon commença sa course, il monta doucement sur le tapis, prenant de la vitesse à chacun de ses pas; 2, 4, 5, 5, 7, 9 kilomètres à l'heure. Il courait, mais s'épuisa à quelques kilomètres. Étant à court de souffle, il voulut s'arrêter. L'infirmière lui signala que s'il arrêtait, cela signerait la fin de son entraînement, et de son vœu de devenir plus fort pour combattre. Sur ses paroles qui énervèrent fortement Sinji, mais ne voulant pas ce montrer faible devant une fille. Répondit d'une simple voix « Oui ». Donc il s'efforça de continuer ses quelques mètres restant à courir, en n'oubliant pas de s'hydrater et d'essuyer sa sueur. Au bout d'une heure et demi, il termina ses 15 kilomètres, tellement épuisé qu'il s'écroula.

À son réveil, Kamo était là dans sa chambre, et lui dit :
- L'infirmière a tout testé, c'est bon, tu peux continuer l'entrainement avec moi. De plus je lui ai même demander de rajouter un petit entraînement, la course des 15 kilomètres.
- Hein, c'était toi... Tu devais alors me trouver faible... Répondit Sinji abattu par la course.
- Non, ne t'inquiète pas. Tu es très endurant pour quelqu'un de 12 ans, je te l'assure.
- Et maintenant qu'est ce qu'on fait ? Si tu le veux on continue l'entrainement ? Dit Sinji.
- Non demain, il faut que tu te reposes aujourd'hui, c'est ce que l'infirmière m'a dit. De toute façon je suis pas pressé. Répondit le colocataire.
- Bon... d'accord, je reste au lit. Répondit Sinji soupirant et s'endormant à la fin de sa phrase.

Chapitre IX : Entrainement spécial endurance ?!

Le lendemain Sinji, était déjà réveillé. Il prit le petit déjeuner dans le réfectoire de Mahora, et alla rejoindre son ami dans le camp d’entraînement. Quand il arriva son ami était déjà en train de l’attendre.

- Bon alors Sinji prêt pour l’entrainement ? dit Kamo.
- Oui, toujours prêt ! répondit Sinji tout excité.
- D’accord Sinji, au vu de tes efforts pour augmenter ton endurance, je sais qu’à présent tu peux re-exécuter un quick move, avec plus d’endurance tu pourras en faire 10 d’affilée.
- Avec plus d’endurance 10 d’affilée tu dis ? Mais là est-ce que je n’ai pas plus d’endurance ? J’ai couru tes 9,32 miles.
- En fait, tu as raison, et je pense que tu pourras en effectuer 3 environ. Bon assez parlé, passons aux choses sérieuses maintenant, on va voir si tu t’es amélioré. On va commencer par un petit combat. C’est quand tu veux ! Lance le premier coup.

Sinji commença alors à réfléchir et à élaborer une stratégie offensive. Mais de toute façon, son maître était beaucoup plus expérimenté que lui. Mais plus décidé que jamais à lui montrer à quel point il avait progressé, qu’il donna un énorme, puissant coup de poing suivit d’un quick move tout de suite après. Mais Lionel parvint à tout esquiver sans subir aucun dégât occasionné. Sinji était déjà fatigué de ses coups. Son maître ne tarda pas à comprendre.

- Est-ce donc cela ta limite ? Un coup de poing à en faire balayer quelques un, suivi d’un quick move incomplet. Hum… Tu es trop faible en ce qui concerne l’endurance, mais c’est bien tu t’es déjà un peu amélioré, déclara alors son ami en se tordant de rire.

Sinji était démoralisé par les propos du maître, mais il n’était pas dupe, il ne pouvait pas gagner ce petit combat. Mais il n’était pas du genre à laisser tomber, aussi il prit des mottes de terre. Malgré sa fatigue, il lança sa terre et il effectua un second quick move suivit d’un coup de poing des deux mains. Son ami put tout esquiver une nouvelle fois, il fallait se rendre à l’évidence, il était trop fort.
Son maître vit que Sinji était à bout de souffle, il arrêta alors le combat pour aujourd’hui.

- Alors, disciple, je vois que tu es à bout de souffle, signala-t-il.
- Oui, mais continuons, je peux y arriver, répondit Sinji que rien ne peut arrêter dans sa détermination.
- Hum… Mon cher élève, j’ai le regret de te dire que ton endurance est trop faible. Tu ne peux pas continuer. Mais ce que tu peux faire c’est d’améliorer ton endurance, sur un tapis de sport. Annonça son précepteur.
- Quoi, comment ? répondit le jeune élève, fort étonné.
- C’est bien ce que j’ai dit, quand tu avais commencé l’entraînement, je ne savais pas honnêtement, que tu étais aussi faible en endurance. Je crois que je ne pourrais pas commencer à t’entraîner plus sérieusement avant les vacances de noël. Bref maintenant si tu veux améliorer ton endurance fais le, car je t’ai déjà réservé un tapis de sport jusqu'à noël au moins. Tu va devoir au moins courir une soixantaine de kilomètres, pendant la dernière semaine des vacances. Après rendez-vous ici pour un petit test, et je donnerais des nouvelles instructions, déclara Kamo en faisant un long discours.
- Hum… Tu sais ton long discours à failli m’endormir. Bon sinon j’accepte cet entraînement, et puis merci de m’avoir réservé un tapis de sport, répondit-il en plaisantant. Et il ajouta :
- D’accord, et je commence quand, cet entrainement spécial ?
- Bah demain vers 15 heures dans la salle de sport, on t’y attendra, soit bien à l’heure surtout.
- Bref, je file terminer mes devoirs de vacances, répliqua son jeune disciple et il partit.

Chapitre X : Job de vacance !

Le lendemain Sinji voulait prendre un petit peu de repos, avant d’aller à l’entraînement, après tout c’était ses vacances. Il partit donc se balader dans le campus, c’était les vacances, sauf pour quelques personnes qui continuaient de travailler. Soudain, il s’arrêta devant un restaurant de pizza. Cet endroit avait l’air de sentir la bonne pizza. Il entra.

- Hum… Une bonne pizza, dommage je n’ai que 200 Yens sur moi, tant pis. Mais je pourrais postuler pour un job, comme ça je pourrais m’acheter plein de choses. Ah et en plus mes parents ne payent que l’établissement, où je suis.

Sur ces bonnes notes, il alla se chercher un travail, enfin pour ses vacances. Il essaya de se trouver un bon petit job, bien rémunéré, mais ce qui n’était pas si facile à Mahora. Sinji pensa à un job en informatique, mais qui lui proposerait ses services ? D’autant plus qu’il y a déjà beaucoup d’informaticiens dans ce campus. Tout à coup il eut une idée : le boulot de garde. Le jeune homme savait se battre, et il espérait de toute façon se reposer après l’entraînement que Lionel allait lui concocter, enfin il était déjà fait, et il connaissait les plans de son ami. Donc pour lui c’était décidé : il allait faire le boulot de garde.

Sinji se demanda où aller pour postuler, en marchant pour allait demander à l’accueil. Il vit une petite fiche qui était par terre. Cette feuille disait qu’un poste de garde était libre, et que pour postuler il fallait d’abord demander au principal adjoint se trouvant actuellement chez lui. Dans un petit quartier pavillonnaire, où vivaient, pour certains, ceux qui occupaient une grande responsabilité à Mahora.

Sinji partit voir le proviseur adjoint. Arrivé devant sa maison, il crut être dans un rêve : sa maison était tellement resplendissante, qu’il ne trouva aucun mot pour la définir. Elle avait beaucoup de plantes, des fleurs et des décorations. Quand il parvint devant la maison, il trouvait que ça sentait bon la lavande. Il sonna à la porte, et quelqu’un répondit.

- Dring ! Dring !
- Bonjour, c’est pourquoi ? déclara le proviseur adjoint.
- Bonjour monsieur le proviseur adjoint. C’est pour postuler au poste de garde, que vous avez mis dans la fiche, répondit le jeune homme.
- Ah oui, ce poste. Vous êtes en quelle classe ? demanda le proviseur adjoint.
- En première année de collège, monsieur.
- Je vois et tu veux un petit poste de garde pour tes vacances ?
- Oui, c’est bien ça.
- Très bien. Je vais signaler que ce poste est pris. Tu en es sûr ?
- Oui, sûr et certain.
- C’est bien. Tiens, prends cette lettre, que je vient juste d’écrire pour le chef des gardes. Il comprendra sûrement et ne te donnera pas un poste trop dur. Il se trouve dans la tour ouest à cette heure-ci.
- D’accord monsieur, répondit Sinji. Et il partit voir le chef des gardes.

A son arrivée, il vit que le chef des gardes se trouvait bien dans la tour ouest. Pendant son escalade dans la tour, il se dit que c’était comme un château : les escaliers étaient petits, ils tournaient presque tout le temps, et le pire, c’était qu’il y avait une centaine de marches à gravir, pour atteindre le bureau du chef. Seulement, il ne savait pas à quoi servaient les autres étages. Il entra, le rejoignit et donna la lettre.

- Hum… Je vois ça. Bon commençons les présentations : moi c’est M. Henrix de la Fallence, mais tu peux me tutoyer, et toi ?
- Moi c’est Sinji… Sinji Akeshi, répondit t-il sèchement.
- Je vais quand même essayer de te trouver un poste, pas trop dangereux. C’est ce que le proviseur adjoint m’a écrit. Tout est dans la lettre. Reviens ici, demain pour 15 heures, je t’affecterais à un poste, même si ce n’est que pour 5 jours.
- Euh, 15 heures… Je ne peux pas, j’ai quelque chose à faire.
- Bon alors avant 14 heures, viens demain à la maison des gardiens. Je te trouverais un poste une fois qu’on sera là-bas. Tu peux m’assurer que tu viendras ?

Sinji répondit d’un hochement de tête. Puis le jeune homme vit l’heure sur sa montre. Il le salua et partit sur le champ en entraînement spécial. Son ami devait certainement l’attendre : il était plus de 15 heures. Il se dépêcha de filer.

Chapitre XI : Premier jour d’entrainement spécial endurance.

Le champ d’entraînement était devant lui, et il vit son ami en train de l’attendre, en relisant des notes d’entraînement qu’il avait fait auparavant.

- Ah enfin, tu es la Sinji ! Bon commençons l’entraînement. Je sais qu’il va être dur, mais à la fin de cette semaine, il y a un petit test. Et ce petit test, va être la congrégation, de ta semaine d’entraînement.
- Ok, mais il y a de l’eau au moins ? Courir 60 km sans eau, c’est pas un peu risqué ? Sinji disait cela en ne voyant pas d’eau.
- Oh, t’inquiète et te l’ais-je pas dis avant ? Déclara Kamo.
- D’accord on commence quand ?
- Bah en fait j’attends que l’eau, que j’ai commandé parvienne jusqu’à moi. Mais sinon on peut commencer, j’ai acheté un petit peu d’eau prêt d’ici.
- Ok, allons-y !

Le jeune homme monta sur le tapis de sport, commença alors à courir, à 2, 3, 4 puis 9 km/h. Son ami lui dit de ne pas aller trop vite, car sinon il allait se fatiguer. Mais en ne prenant pas la remarque de son maître au sérieux, il continua sa route. Une heure plus tard le jeune disciple, se mit à se fatiguer, il avait seulement parcouru un quart des 60 km. Le maître, vit qu’il était fatigué, et il lui dit de ralentir la cadence, ce qu’il fit. Soudain le livreur d’eau était arrivé, Sinji, avait pu boire de l’eau. Tout en courant, pour ne pas perdre l’équilibre.

Pendant cette deuxième et troisième heure, il parcourut les 3 quarts des 60 kilomètres qu’il devait faire. Mais il sua beaucoup, et il fut très vite fatigué. Tellement qu’il ne pouvait pratiquement plus continuer. Mais sa force de caractère le poussa à continuer, jusqu'à la quatrième heure.

Le jeune garçon était fatigué, il ne pouvait plus bouger ses bras, ni ralentir, sinon il ne pourrait plus repartir. A chaque fois qu’il avait soif, il demanda à son ami en susurrant. Le jeune garçon ne pouvait presque plus parler, mais il se devait de continuer, à ce moment là il ne lui restait plus que 5 km à parcourir. Le jeune disciple demanda alors un petit peu d’eau à boire, mais il avait la gorge trop sèche. Il ne pouvait plus dire où émettre des mots. Il se mit alors à bouger automatiquement, paraissant plus anéanti à chacun de ses pas. Lorsqu’il termina les 60 km, il dégringola, la tête en premier, le laissant ainsi à terre dans les pommes.

- Eh ! Sinji réponds !

Après cette accident son ami le transporta jusqu’à l’infirmerie, craintif de son état. Leslie l’infirmière de ce jeune homme, lui déclara :

- Ce n’est rien, ne t’affole pas de son état, il va s’en remettre. Et de plus on dirait que ton entrainement lui à paru être une bonne chose, car il a ses muscles paraissent plus robustes. Tiens, il était déjà réveillé, preuve qu’il a une plus grande endurance.
- Ok, je vais le voir ! répondit Kamo à présent rassuré.
- Sinji tu vas bien ?
- Bah non, tu le vois bien non ? Bon, l’infirmière m’a dit que je pourrais prendre le repas au réfectoire. Dit Sinji tout reposé.
- Ok, on y va !

Sinji et Kamo, quittèrent tous les deux l’infirmerie, Kamo ayant déjà mangé partit dans la chambre. Sinji prit un plateau, et alla se servir. En ce soir de vacances, il y avait du Gohan, des Sashimi, du Sukiyaki et des Tempura.
Après avoir fini, il déposa son plateau dans l’évier, et repartit dans sa chambre.

- Ah, Sinji ? déclara son colocataire.
- Oui, qu’est qu’il y a ? répondit Sinji.
- Demain, sur conseil de l’infirmière. Elle m’a dit de commencer l’entrainement plus tôt et de faire quelques pauses. Donc on commencera demain, vers 11 heures, après vers 13 heures on mange. On fait une petite pause pour bien digérer et a 15 heures on continue l’entrainement. Ça te va ?
- Euh, attends, je dois aller voir M. Henrix, avant 14 heures. C’est un peu juste mais sa devrait le faire.
- Ah tu as un rendez-vous ?
- Oui, c’est pour me trouver un poste dans le boulot de garde, de toute façon c’est pour les vacances. Comme ça, j’ai de quoi acheter des pizzas, des Yakitori, bref tout ce que je veux.
- Ok, mais je voudrais faire aussi partie des gardes, comme ça je pourrais aussi m’entrainer.
- Bah d’accord, viens demain avec moi, voir M. Henrix.

Sur ces paroles, les deux garçons allèrent se coucher, en entendant le vent souffler très fort. Quelques fois même les deux jeunes garçons crurent que le toit allait s’effondrer. Et Sinji, qui n’était pas rassuré, alla plutôt examiner les alentours du bâtiment, pour voir ainsi si rien ne s’effondrait. Il vit que rien ne s’effondrait, mais de plus il ouvrit une fenêtre et le vent se déchaina tellement fort, qu’il se demanda pourquoi les murs tenaient encore. Ensuite il essaya de repousser la fenêtre pour quelle se referme. Mais rien n'a faire, se sentant alors fatigué, il alla dans son lit se coucher.

Cette nuit là fut particulièrement difficile : Sinji entendait le vent gronder fort, derrière les fenêtres. Il réfléchissait à tout cela sur son lit :

- Eh bien, quelle tempête ! J’ai jamais vu le vent souffler aussi fort…

Le jeune Akeshi s’endormit sur ces pensés.

Au réveil, les deux garçons furent éblouis par le soleil, mais n’avait-il pas fermé les stores ? Ce fut donc à 8 heures qu’ils se levèrent, son ami baillant à s’en décrocher la mâchoire. Sinji alla prendre son petit déjeuner seul, et alla aussi s’habiller. Quand neuf heures sonna, ils décidèrent ensemble de continuer l’entraînement spécial. Cette fois en sachant bien qu’il fallait couper chaque session en deux. En plus comme la lumière les éblouit et qu’ils durent se lever plus tôt, il devra donc courir 30 kilomètres jusqu'à 11 heures à la place de 13 heures.

- Vas-y je règle sur 15 KM. déclara son ami.
- D’accord, mais sinon je m’échauffe un peu d’abord. répondit le jeune Akeshi.
2 à 5 minutes plus tard.
- On commence ? dit alors le jeune Akeshi.
- Bah moi je suis prêt.
- Ok, on lance !

La machine fit un bruit bizarre, comme un ronronnement de voiture au démarrage de celle-ci. Mais Sinji voulant finir l’entrainement continua de courir, à 15 Km/h, le jeune homme a même cru qu’il allait tomber au début. Mais son fidèle ami jugea qu’on pouvait continuer jusqu'aux 45 Km, il augmenta donc la cadence de la machine jusqu'à 22,5 Km. Sinji dû courir très vite, ses jambes se déplaçant à une vitesse phénoménale. Quelque fois, il arrivait que la machine commençait à beaucoup chauffait, et cette machine faisaient du bruit, comme si la foudre passait quelque part très loin. Ceci n’empêcha pas Sinji de continuer, même si il ressentait des picotements dans ses jambes.

Son Maître lui dit alors qu’il continuait jusqu'à 12 heures, ils ne vont plus viser les petites pauses ordonnés par l’infirmière, ils vont tout faire ce matin. Le maître lui passa beaucoup d’eau, à une intervalle de 2 minutes. Il transpirait comme un phoque, mais ce qui est normal à cette vitesse. Sinji se demandait même si ces os n’allaient pas craquer, mais rien, il continua donc sa course acharnée. Il devait être habitué à ce genre d’entraînement, il travaillait sa vitesse, son endurance, et sa coordination. Maintenant, il devait avoir une endurance de béton, mais il était déjà fatigué, enfin c’est normal. Kamo avait déjà prévu ça, et avait préparé un ventilateur express qui marchait très bien, justement ce ventilateur était fait de plantes médicinales, c’est pour cela qu’elle était verte. Ce ventilateur comme elle est un peu médicinale, elle forçait aussi la régénération de cellule, et elle était entièrement recyclable. Elle a été achetée dans un brocanteur, du marché high-tech de Mahora, la machine médicinale a couté très cher, environs 1 000 000 yens que Sinji, va bientôt devoir payer à son grand regret.

Après plus de 2 heures et demi sur ce tapis roulant, à une vitesse de 28 Km/h, il commençait à beaucoup se fatiguer. Même le ventilateur ne suffisait pas à calmer sa douleur des jambes. Il commençait à ralentir, et à tomber du tapis roulant, lorsque son ami lui a dit qu’après maintes estimations, il avait déjà parcouru ses 60 km, et que là, il entamait les 64 km. Sinji, rassuré de ces propos commença à ralentir le tapis, pour ne pas tomber, il se sentait très épuisé, mais brusquement, quand il atteint 5 km/h, il s’écroula sur l’herbe fraîche du camp d’entrainement. Il était crevé, il ne pouvait plus faire un pas. Son ami lui ordonna alors de rester dans l’air frais du ventilateur, les pieds en avant, pendant 45 minutes, ceci suffirait à le reposer, mais pas à éliminer toute sa fatigue accumulée.

- Alors comment ça va Sinji ? Tu récupères de cet effort ?
- Ouais, lentement, mais sûrement.
- Comme tu le vois, tu as été très rapide, plus rapide que quelques sprinteurs célèbre du campus, avec ton endurance, mais il te reste à appliquer l’endurance que t’as acquis. Et je dirais, qu’elle a beaucoup progressé. Je pourrais t’entrainer sérieusement, quand les cours reprendront, tu n’es plus faible maintenant. Tu es ce que je dirais, une personne ayant la moyenne d’endurance, pouvant me suivre durant l’entrainement. Je vais être contre toi, et tu pourras enfin parfaire ton quick move. Enfin je t’entrainerais avant à parfaire ton quick move.

Soudain, les deux garçons entendirent un léger raffut. C’était le tapis roulant, il avait implosé, mais l’explosion ne dégagea pas de feu.

- Ola, heureusement que mon entraînement spécial était fini. Mais en faite, ce ventilateur médicinal, il a couté combien ?
- Euh… Ce ventilateur… 1 000 000 yens, et tu devras payer.
- Quoi… euh attends, je n’ai pas l’argent, et reviens !
- Hi hi ! Aller viens manger ! Je pense que tu t’es suffisamment reposé.

Sinji se releva tant bien que mal, et ressentit de la fatigue, mais pas de douleur. Il questionna son ami sur ce ventilateur, mais il ne répondit pas davantage, à part que cette machine était fait d’herbe médicinale. Ce midi, ils mangèrent du riz, et du Yakinuki, au réfectoire.

Après qu’ils aient fini de déjeuner, ils allèrent directement à la maison de garde. D’après ce qu’avait dit M. Henrix, la maison de garde devait se trouver dans la montagne de Mahora. Ce lieu ne devait pas être difficile d’accès. Il y avait des pancartes un peu partout, mais plus les deux garçons s’approchaient du sommet, moins il y en avait. Ce qui fut très handicapant, car la dernière pancarte qui indiquait la maison des gardes, était vers le début de leur montée. Une demie heure s’était écoulée depuis la montée, et toujours pas de maison, ni de chalet.

- Kamo… Je pense qu’on s’est perdus… déclara Sinji.
- Continuons la route, on y arrivera bien. répondit son ami.
- Ah, attends je me souviens que M. Henrix à dit que la maison devait se trouver en bas…
- Mince alors, au doit redescendre ? On doit se retaper toute cette route ?
- J’en ai bien peur.
- Il est déjà 13h21 tu penses qu’on y arrivera ?
- Bah en courant, on y arrivera, et j’ai une bien meilleure endurance maintenant.
- Oui bah voilà, ta première application sur l’endurance, et sache qu’on n’est pas en terrain plat, et qu’il y a moins d’air là où nous nous trouvons.

Sinji et son ami descendirent toute la montagne, le faisant à peine en 10 minutes.
La pancarte avec écrit dessus « maison de garde », montrait en réalité l’ouest. Mais ils ont vu qu’il leur fallait au moins 45 minutes, ils durent alors courir, à travers les bois. Ils pouvaient même tomber et se casser quelque chose, avec toutes ces racines d’arbres. Mais ils ne tombèrent pas, et arrivèrent à 13 h 45. Ils virent une des plus grande villa, en blanc et en rouge, au bord d’un lac, à côté du lac se tenaient des plages. Ils frappèrent à la porte et une jeune fille apparut, elle avait l’air plutôt grande, plus que Sinji en tout cas.

- Bonjour, je m’appelle Angeline Crawford, et vous ? déclara la jeune fille.
- Moi c’est Sinji Akeshi et lui c’est mon colocataire Kamo Habashira. Répondit le jeune Akeshi.
- Je suppose que c’est vous qui venez pour un poste de garde ? Laisser moi vous accompagnez.

La jeune fille qui dévoila son nom, leur demanda de la suivre. Arrivés devant la porte du bureau de M. Henrix, elle toqua et partit faire sa ronde.

- Entrez !
- Bonjour M. Henrix, j’ai amené mon ami Kamo avec moi.
- Ah bonjour, il veut aussi postuler ?
- Oui monsieur, il veut postuler.
- Bien, ça tombe même très bien. Le problème c’est qu’on n’avait plus personne pour protéger la jeune fille du sous directeur. Et comme là vous êtes deux, ça me sauve la vie. Moi qui voulais te confier une tache moins importante. Sinon je pense que vous avez déjà du faire sa connaissance.
- Non… Pourquoi ?
- Si, c’est une jeune fille Angeline Crawford.
- Ah ! Mais, je me souviens en dernier qu’elle a dit qu’elle est partie faire sa ronde.
- Ca c’est bien la jeune fille du sous-directeur, je pense qu’elle est partie voir sa copine. Sinon je vous assigne tout de suite aux postes de garde du corps de la jeune fille.
- Mais attendez, on est que des enfants, pourquoi nous avoir choisis ?
- Vous savez bien vous battre, et je vous ais vus, durant l’entraînement du jeune Akeshi. Et puis tous les gardes sont pris. Votre travail de vacances commence maintenant, bien entendu vous serez bien rémunéré 555 000 yens chacun, soit 1 110 000 yens. Sans parler des récompenses que vous toucherez peut être sur des missions, qu’on va vous confier. Là je vous ai déjà assigné à une mission votre première. Avant que vous partiez amenez-moi Angeline, je dois lui dire que c’est vous ses deux gardes personnels.
- On la ramènera, mais on ne connait pas encore très bien les lieux. Répétèrent les deux jeunes nouveaux gardes en cœur.
- Ahah ! Si ce n’est que ça, je pense qu’elle doit être dans la montagne, il y a une seconde villa, où elle se réunit fréquemment avec ses amis. Quand vous la verrez dites-lui bien que c’est un ordre de M. Henrix, elle comprendra. Oui surtout revenez dans 10 minutes pas une de plus, car je m’en irais bientôt.

Sur ces paroles les deux amis, maintenant passé le grade de garde du corps, s’en allèrent en courant. Ils remontèrent une partie de la montagne en moins de 3 minutes, et virent une seconde villa pas très loin. Mais ils aperçurent aussi Angeline, ils partirent donc lui dire que sur un ordre de M. Henrix elle devait aller le voir. Mais ils se demandèrent alors comment la ramener, avant que les quelques minutes ne soit écoulés. Ils trouvèrent par chance une brouette pas très loin. C’est Kamo qui se proposa de la transporter, et Sinji était très surpris, il tirait la brouette, mais justement la brouette devait peser plus de 55 kg. Et bien en réalité son ami n’avait même pas ralenti, prouvant une nouvelle fois sa force.

Arriver à la première villa, Angeline suivit Sinji et Kamo, jusqu’au bureau de M. Henrix de justesse, car il allait partir.

- M. Henrix, nous avons pu ramener Angeline en temps convenu. Déclara Sinji.
- Bien, c’était votre test d’admission. répondit M. Henrix
- Comment ça ? Un test ?
- La fille que vous avez ramené est bien Angeline, mais elle n’est pas la fille du directeur, c’est une guardian. D’ailleurs je te remercie Angeline. Tu peux disposer ! Ordonna M. Henrix.
- M. Henrix vous êtes aussi le chef des guardians ? demanda le jeune garçon.
- Non, ce n’est pas moi, mais comme mes gardes sont à peu près du même niveau. Je suis aussi du même niveau que leur chef. Et sinon passons à la vrai mission, vous devez protéger la petite-fille du sous-directeur, Rin Zekage pendant qu’il sera en déplacement, il reviendra dans 3 jours. Allez-y dans sa maison, le majordome vous fera entrer. Vous pouvez aussi disposez !

Les deux compères allèrent, comme l’avait dit plus tôt M. Henrix, à la maison du sous-directeur. Ils sonnèrent à la porte, et attendit un moment avant que le majordome les ouvres.

- Bonjour messieurs ! dit-il en les ouvrants la porte.
- Bonjour, monsieur ?
- Je suis le majordome, suivez-moi, je vous en prie.

La maison vue de l’extérieur sembler petite, mais quand on est à l’intérieur on la voit beaucoup plus grande. Il y avait des têtes d’animaux sur les murs, des tableaux, notamment Nu au plateau de sculpteur de Picasso. Ce tableau faisait un peu près 1,60 sur 1,30 mètres, le tableau représente un nu, un buste et une plante verte. En avançant dans la pièce il vit d’autre tableau, tous de Picasso. « Décidément, il aime Picasso, en plus il est riche » pensa le jeune Akeshi. » Après ils allèrent dans un ascenseur, il y avait 4 étages, le rez-de-chaussée, le sous sol, le 1er étage et le 2ème étage où ils devaient s’y rendre, pour surveiller la jeune fille. Sans qu’ils ne visitent les autres étages, ils allèrent directement au second.

Arrivés au second étage, ils allèrent dans la chambre de la petite fille. Cet endroit était grandiose, il y avait une bibliothèque à elle seule, une grande bibliothèque. Il y avait aussi un grand lit au milieu, des canapés se trouvant devant une télévision à écran plasma, sous l’écran plasma on vit plusieurs consoles de jeux, et bien sûr des jeux vidéo. On la trouva sur un canapé endormis. Ainsi c’était elle la petite-fille du sous directeur, elle avait l’air d’avoir 8 ans. « Si on la chouchoute trop, ça iras mal plus tard, elle a tout ce dont elle désire. Je me demande qu’elle est son comportement à cette gamine ? Bref, je dois juste la surveiller et il ne faut pas que je me pose des questions.» songea le jeune Akeshi. Le majordome réveilla la jeune fille, et les présenta ces jeunes gens étant ces gardes du corps personnelles, durant les 3 jours où sont père et sa mère ne serait pas là. Puis le majordome nous dit de le suivre, il leur présenta leurs chambres. Leur chambre était spacieuse, il y avait deux ordinateurs portables d’une valeur d’au moins 20 000 000 yens, et se trouvait leur lit, elle était pareille que celle qui était présente dans leur dortoir.

- Elle prend son déjeuner à 13 heures et son diner à 19 heures, et l’endroit où elle mange se trouve au 1er étage. Les ordinateurs portables serait un outil pour localisé Rin, elle porte un traceur sur elle. Sur ce je vous laisse, jeune garde. Occupez-vous bien de la petite-fille. Au revoir ! déclara le serviteur.

- On fait quoi, maintenant ? demanda Sinji.
- Il va être 19 heures dans 4 minutes. On a qu’à l’accompagné jusqu’au 1er étage.
- Ok, je te suis.

Les deux jeunes gardes allèrent, accompagné la petite Rin au 1er étage. Elle les suivait sans dire la moindre parole, la petite ne s’éloigna pas d’eux. La salle à manger était grande, on vit des serviteurs, qui demandaient de nous asseoir à la grande table. Il n’y avait que Sinji, Kamo et Rin qui était sur la grande table, les serviteurs dinèrent autres part. On dina sans aucun bruit, tellement ce repas était délicieux, Rin ne dit aucune parole. Rien du tout. Comme intimidé par la présence des deux jeunes gardes. Après que ce repas fut terminé, ils accompagnèrent jusqu’à le second étage, et la laissa partir.

- Comment tu trouve la fille ? dit Kamo.
- Bizarre, elle doit nous craindre, mais le repas était tellement appétissant. Déclara le jeune Akeshi en répondant à sa question. Et toi ?
- Bah je pense qu’elle est plein de tristesse, elle ne voit jamais ses amis. Enfin je pense qu’elle n’en à pas. Je devrais peut être aller lui parler ?
- Non, ce n’est pas notre travaille, notre travaille est de la protéger.
- J’irai seul alors ! Je la comprends mieux que personne, je n’avais aussi aucun ami avant.
- Bon d’accord, j’viens avec toi.

Kamo toqua à la porte de sa chambre suivit de Sinji, mais à leur grand étonnement la porte était ouverte. Ils entrèrent dans la chambre, mais à l’intérieur ils virent qu’il n’y avait personne. A part un mot, qui disait : « Donner moi 900 000 000 000 yens, ou je tue votre fille. »
En lisant cela les deux jeunes gardes eurent peur, mais ils se rappelèrent que c’était eux les gardes, et qu’ils étaient responsable d’elle. Les deux garde se souvenait, qu’ils avaient mit un traceur GPS. Ils allumèrent leur ordinateur portable, et regarda la jeune fille. Une fois fait, ils allèrent retrouver la fille.